Après des succès comme Tokyo Cannabis et The Ichinose Family’s Deadly Sins, Kana nous surprend encore avec Tank Chair, une nouvelle licence prometteuse. Cette série, déjà composée de six tomes au Japon, marque les débuts de Manabu Yashiro, un auteur remarqué par Yûsuke Murata, le talentueux dessinateur de One Punch Man. Et à la lecture de Tank Chair, on comprend vite pourquoi Murata a été séduit.
L’histoire captivante de Tank Chair
Action et esthétique renversante
Shizuka n’a qu’un objectif : décrocher les contrats les plus dangereux pour revoir son frère « réveillé ». Elle espère qu’avec le temps, il retrouvera complètement ses esprits. Ce premier tome de Tank Chair nous plonge dans un univers mouvementé, peuplé de tueurs expérimentés, chacun avec sa propre personnalité et son charisme. L’action y est omniprésente, soutenue par un dessin de grande qualité.
Une fin de tome pleine de promesses
Le tome se termine en révélant des éléments intrigants sur le passé de Nagi et l’existence de l’Académie, une organisation qui recrute des enfants du monde entier pour en faire des tueurs à gages. Le leader de cette académie semble avoir une rancune particulière contre Nagi, voyant en lui une cible affaiblie idéale pour assouvir sa vengeance. Ce premier tome de Tank Chair est convaincant et prometteur. Il laisse présager une suite riche en révélations et en combats palpitants. J’attends avec impatience de découvrir les prochains épisodes pour en savoir plus sur Nagi, Shizuka et cette fameuse Académie, qui promet des duels mémorables entre les meilleurs tueurs à gages de la planète.