Récemment, un événement pour le moins inquiétant a secoué l’Empire : les dix trésors sacrés de l’Empereur ont été dérobés par des esprits malfaisants. Normalement, une barrière protectrice veille à préserver la quiétude du domaine impérial, mais il semblerait que cette barrière ait été soit défaillante, soit délibérément désactivée. Les détails de cet incident demeurent pour l’heure obscurs, mais nous comptons bien les dévoiler un à un au fil de notre lecture.
Toutefois, ce qui retient immédiatement notre attention est la rencontre avec un duo aussi élégant qu’énigmatique : Izumo et Haruko. Ces deux exorcistes vivent en reclus, dans un château d’un noir profond perché sur une colline. De plus, un indice suggère qu’Izumo pourrait bien être le fils de l’Empereur, bien que cela ne soit qu’effleuré de manière implicite. Une confirmation de cette hypothèse est peut-être à portée de main.
Miyabichi no Onmyôji : actions et charismes au rendez-vous !
Izumo incarne l’archétype du séducteur par excellence, avec son charme mystérieux, son apparence saisissante, sa puissance indéniable. En parallèle, Haruko, le jeune homme-loup, ne manque pas de classe lui non plus. Cette fusion de caractères fonctionne à la perfection.
Sur le plan visuel, la série est une véritable œuvre d’art. L’univers qu’elle propose, les créatures qui le peuplent, les transformations, les scènes d’action, tout cela est sublimé par le talent de l’auteure, Fujimoto. Que ce soit dans la conception des décors ou le développement des personnages, tout est magnifiquement conçu. Même les créatures maléfiques se distinguent par leur originalité. Dans l’ensemble, c’est une expérience visuelle des plus plaisantes. J’attends avec impatience la suite de cette nouvelle aventure. Bien que le scénario ne soit pas le plus original qui soit, il opère une alchimie captivante qui saura séduire les lecteurs !